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LE BÂTISSEUR

ou Le Bâtisseur qui ne Savait Pas Dire Non

NOTE PRATIQUE

Paratextes

Tout n'est pas à lire


Ce conte est composé d’une suite de 42 doubles pages toutes disposées de la même manière : la page de gauche présente les textes ; la page de droite, l’illustration correspondante.

Sur la page de gauche, il y a trois versions différentes du conte, chacune prévue pour un âge d’écoute différent. Sur chaque page, chaque texte est accompagné d’une indication précisant cet âge conseillé.

  • À partir de 3 ans, en prose, au présent et en termes simples avec peu de vocabulaire ;
  • À partir de 6 ans, en hexasyllabes, au passé simple avec plus de vocabulaire ;
  • À partir de 9 ans, en alexandrins, au passé simple avec beaucoup de vocabulaire.

 

Ce texte étant modulaire, sa longueur et ses répétitions se ressentent. Aussi, il est recommandé de commencer par la version courte. Cette version permet de passer des 42 doubles pages à 26. Pour ce faire, en bas de certaines pages vous verrez ceci :

→ version courte, allez à la page 36


L'apprentissage de la lecture


Pour favoriser la pratique de la lecture, tous les textes du conte sont composés avec deux polices d’écriture et avec des tailles facilitant cet exercice.

Les polices utilisées sont
la Thryomanes Normal
et la Times Newer Roman
aux tailles 14 et 18.


Lexique illustré


Un lexique et son index se trouvent en fin d’ouvrage répertoriant tout le vocabulaire du conte, expliqué et parfois illustré, à partir de la page 109.

282 définitions / 76 illustrations

Attention, s’il y a beaucoup de termes et d’expressions, tous ne doivent pas interrompre la lecture. Cela casserait le rythme et la compréhension globale de l’histoire et changerait le plaisir de lire et d’écouter en calvaire. Par ailleurs, les termes et expressions du lexique ne sont pas tous complexes : le désir de rendre ce livre accessible à tous a eu pour conséquence d’augmenter conséquemment ce lexique. Enfin, la plupart des termes complexes se comprennent intuitivement par leur contexte et le ton du lecteur. À utiliser, donc, avec parcimonie.

Si vous avez l’occasion de lire le conte sur mon site internet (lien en fin d’ouvrage), une fonctionnalité supplémentaire liée au lexique est disponible : en passant la souris sur les mots du conte, un petit encadré apparaît sur ceux répertoriés dans le lexique, présentant la définition du mot et son illustration si celle-ci existe.


Les paratextes


Cet ouvrage présente de nombreux paratextes qui enrichissent l’expérience de lecture. Aucun n’est obligatoire et même, il serait préférable pour certains d’en éviter la lecture.

Le paratexte en fin d’ouvrage LA SYMBOLIQUE  n’est pas à lire aux destinataires premiers du conte : les enfants et les adultes qui se retrouvent dans la dédicace. Il est là pour expliquer certains sens du conte et de fait, le désacralise.

Pour l’enfant qui en aurait la lecture, le conte ne travaillerait plus dans son inconscient pour résoudre les problématiques en présence et l’enfant ne sentirait plus sa propre victoire opérer. Le conte expliqué par le menu le priverait de sa magie, de cette part de mystère qui le pousse à être acteur dans cette bataille intérieure et l’auteur de sa victoire, ce dont il a le plus besoin.

Enfants ou adultes, ce conte est pour tous. Il a été fait à l’origine pour les adultes – la version en alexandrins à partir de 9 ans – et adapté aux jeunes âges par la suite. Qu’un adulte se dise ceci : s’il souhaite faire travailler le conte dans son inconscient, les mêmes règles qu’à l’enfant s’appliquent. Rien ne l’empêche, une fois sa victoire intérieure acquise, de prendre connaissance de ce paratexte s’il le souhaite. Il garde ainsi le plein bénéfice du conte.

Ce paratexte est surtout utile aux personnes entourant les destinataires premiers du conte, les animateurs, enseignants ou psychologues, ou encore, parents éclairés.


Les morales


Des morales vous sont présentées à la fin de l’histoire. Même si elles font partie du conte, rien ne vous oblige à les lire.

Un premier niveau de travail sur soi consiste à ne pas les lire pour vous laisser imprégner par la nature même du conte. Un deuxième niveau serait de ne lire de ces morales que le paragraphe en alexandrins. Enfin, un dernier niveau de travail verrait s’ajouter la partie explicative des morales et sa suite.